Le logiciel serait là pour nous protéger, il se substituerait donc à la police;
notre production intellectuelle serait donc réduite à l’équivalent d’une maisonnette
de campagne, menacée par des intrus donc on ne connaît pas le visage... Une
étude approfondie du caractère proprement totalitaire, voire misanthropique des
rhétoriques publicitaire et juridique relatives aux documents électroniques
mériterait d’être menée.