L’un d’eux, Spad, donne une idée de la complexité de la relation texte-image
de cette période: ce logiciel permettait de réaliser des analyses statistique à l’aide
d’une interface graphique. Mais les graphiques factoriels obtenus étaient en fait du
texte, et des espaces. Par exemple, les axes étaient représentés par des points
d’exclamation. Pour visualiser ou imprimer les graphiques, il fallait, dans un
éditeur ou traitement de texte, sélectionner l’ensemble du document, et demander
la sélection d’une police de caractères à espacement fixe, seul moyen de
rendre ces axes alignés et la position du texte en accord avec les valeurs
numériques...