On notera cependant qu’au moment où ces pages sont rédigées, deux des plus importants bailleurs de fond des universitaires et des auteurs valorisent l’internet comme médium incontournable de la transmission de la culture française, vue comme patrimoine. Ce sont le ministère de l’Éducation Nationale —associé bien sûr à celui de la Recherche— et celui de la Culture. Aussi peut-on s’attendre prochainement à des changements opportunistes de discours de la part des détracteurs des techniques.