Les participants:

1. Marie-Diane Faucher (Radio-Canada)

2. Éric Guichard (ENS, Paris)

3. Mark Olsen (U. of Chicago)

4. Robert Peckham (U. of Tennessee-Martin)

5. Dominique Scheffel-Dunand (U. of Toronto)

• Le fait qu'elle soit invitée est un signe que les temps changent.
• Radio-Canada a été la première chaîne de langue française sur le web au Canada.
• Son site web n'est pas commercialisé.
• Radio-Canada est toujours un peu avant-garde parce que c'est le plus grand média français.
• Le mandat de son site web est le même que pour sa station de radio: informer et éduquer le public.
• Le monde parle de plus en plus d'un environnement d'université globale sur Internet.
• En tant que média, Radio-Canada a beaucoup à offrir dans ce domaine.
• L'Internet est un bon outil pour le travail de Radio-Canada.
• Les professeurs sont des gestionnaires d'information et Radio-Canada veut travailler avec eux.
• Radio-Canada a été sollicitée par des professeurs pour mettre des archives en ligne.
• Radio-Canada essaie de trouver des segments qui seront les plus utiles pour les professeurs.
• Ensuite les professeurs peuvent faire leur choix et utiliser ce qu'il leur faut.
• Radio-Canada travaille avec l'Université de Toronto, l'Université de Montréal, l'Université d'Ottawa, l'Université d'Alberta et le campus Glendon de l'Université York.
• Il est difficile d'organiser toute cette information.
• Radio-Canada pense qu'il est important d'offrir ses archives à la pedagogie.
• En même temps, elle ne peut pas tout mettre en ligne; ce n'est pas une bibliothèque.
• Radio-Canada veut participer à la croissance du français sur Internet.

• Elle remercie M.-D. Faucher.
• Un bon partenariat commence à exister entre les deux "mondes", privé et public.
• Il y a des migrants de longue durée ici aujourd'hui et des migrants récents.
• Les points de vue des gens d'ailleurs nous aident à démontrer différentes habitudes.
• Beaucoup d'entre vous avez déjà travaillé ensemble.
• Le Canada est un réseau complexe de personnes venant d'ailleurs.
• Elle espére qu'à la fin du colloque les gens auront trouvé de bonnes façons de travailler ensemble.

• Avec Internet l'écriture et la lecture ont été transformées.
• En utilisant Internet pour apprendre et enseigner, nous apprenons plus sur les méthodes traditionnelles de l'apprentissage.
• Internet nous facilite la structuration de l'information aussi.
• L'enseignement des sciences sociales a beaucoup changé grâce à Internet.
• Le monde des ingénieurs lui demande de l'aide et lui offre du soutien en même temps.
• Les archives sur Internet peuvent beaucoup faire bénéficier les études en sciences sociales.
• Les recherches faites en ligne peuvent aider à raffiner les sujets de recherche.
• Les nouvelles technologies dans le monde des moteurs de recherche sur Internet changent notre façon d'apprendre et d'utiliser Internet.

• Qui aurait pensé, il y a 15 ans, que l'informatique allait prendre une telle ampleur?
• Maintenant, l'informatique et l'université vont ensemble.
• Le travail du genre de Radio-Canada nous offre du support et de l'argent pour des programmes que nous aurions du mal à assurer autrement.
• Le travail que nous faisons a une valeur commerciale.
• Si nous ne le faisons pas bien et efficacement, les compagnies d'informatique le feront.
• Nous devons mieux nous organiser pour pouvoir mieux négocier.
• Le développement de textes électroniques va devenir une source de pression sur les maisons d'édition.
• Nous devons apprendre à partager nos connaissances.
• Nous n'avons pas besoin de rivaliser avec les sociétés privées à tous les niveaux, seulement dans les domaines où nous excellons.

• Il a eu plusieurs problèmes avec son univeristé.
• L'université limite son action et le force à chercher du soutien commercial pour son site web.
• Il va avoir besoin de plus de support financier pour pouvoir continuer à travailler sur son site.
• L'Internet aux États-Unis a été contrôlé par la NSF (National Science Foundation) au début, ensuite des parties ont été vendues à des sociétés.
• L'idée même est peut-être un peu inquiétante, le résultat final sera bon.
• Il faut admettre que les réseaux d'Internet se sont améliorés grâce à ces sociétés.
• Il aura toujours des liens à ajouter à son site.
• Nous devons travailler avec les organismes qui fonctionnent en français.

• Marie-Luce Demonet : Nos partenariats doivent être faits en tenant compte de nos étudiants. Il y a beaucoup de demande dans les sociétés pour ces étudiants.
• Mark Olsen : Il a une étudiante qui va utiliser sa dissertation dans le domaine privé.
• Robert Peckham : Avant tout cet intérêt pour l'Internet, ses étudiants n'allaient généralement pas faire un doctorat en français. Il n'y a pas le personnel nécessaire pour offrir plus de cours. Il reçoit du support du gouvernement pour son travail sur la technologie.
• Eric Guichard : C'est souvent trop tard quand on est reconnu.
• Danielle Trudeau : Les pressions ne sont pas les mêmes en France et au Canada. Au Canada on demande plus de vous.
• Mark Olsen : Il y a dix ans, il découragait ses étudiants de faire du travail en ligne. Maintenant ils se trouvent du travail en fonction du français et des ordinateurs. Les choses ont changé.
• David Trott : L'idée des universités privées est arrivée. Qu'en pensez-vous?
• Mark Olsen : L'université de Chicago est très privée, elle coûte très cher. Le réseau entre les écoles privées et publiques est bon.
• Robert Peckham : On prépare une université virtuelle dans le Tennessee pour des cours d'éducation à distance pour les universités publiques. L'université doit faire concurrence avec les sociétés privées.
• Barry Russell : Avant, nous devions travailler sur nos projets malgré l'université. Maintenant il y a des universités qui offrent du support à leur personnel.
• Marie-Luce Demonet : Il y a beaucoup de politique dans tout ça en France. Le travail électronique n'est pas très bien reçu parce qu'il n'y a pas d'éditeur ou ce n'est pas assez scientifique.
• Robert Peckham : La nature de l'Internet n'offre pas ces contrôles mais ils peuvent être construits s'il le faut.
• Marie-Diane Faucher : Nous travaillons avec les universités pour sensibiliser les professeurs à notre travail et pour voir s'ils veulent travailler avec nos archivistes. Le travail est encore en progrès, les bases de données sont encore en train d'être établies.
• Russon Wooldridge : Notre département utilise la technologie pour enseigner et nos étudiants apprennent beaucoup de cette façon.
• Yves Roberge : Le département reconnaît que la technologie a un rôle majeur et demande que son personnel travaille en fonction de la technologie.