Sabrina Birk
Projet individuel en FRE 335
1. Présentation de l’auteur
Je suis Sabrina Birk, étudiante à l’Université de Toronto. Je prends une majeure en l’Apprentissage et L’Enseignement du Français et deux mineurs en Anglais et la Psychologie. Je suis dans ma dernière année à l’Université après qui je passerai une année comme un volontaire, et si tout va bien je travaillerai dans une école à Québec comme une assistant de l’enseignement de langue pour une année. Je veux devenir une institutrice de la français. J’aime apprendre les langues et je veux apprendre l’espagnol et améliorer mon français et mon punjabi. J’aime aussi la musique et la danse, particulièrement le danse latin. Dans le domaine des études françaises, je m'intéresse à comment enseigner des leçons de français amusant et utile pour les étudiants en utilisant des nouvelles technologies parce que je pense que ça améliorera la motivation. Je veux enseigner les leçons qui permets l’autonomie des étudiants et qui permet de transmettre les qualifications pratiques à la vie quotidienne.
2. Deux de mes sites web préférés
Après avoir entendu un chanson au radio, je consulte souvent le site www.youtube.com pour regarder la vidéo officiel de l'artiste. Il y a aussi les autres vidéos qui les gens ont mis sur YouTube pour les chansons, mais ils ne m'intéressent pas. Ce site est aussi utile pour entendre un chanson qui mes amis ont mentionnés, mais je n'ai pas encore entendu. Je ne l'ai pas essayé encore, mais on peut aussi regarder les vidéos pour apprendre la danse.
Je préfère ce site, mais il y a des autres sites pour voir les vidéos des musiques aussi. Une exemple d’une de ces sites est www.aol.com. Sur le « homepage » de ce site il y a beaucoup de hyperliens avec les images pour les choses comme la météo, la radio et les nouvelles entre autres choses. Le site de « YouTube » a ces hyperliens aussi mais ils sont au bas du page et ils sont une partie mineurs du site. La concentration sur le site de « YouTube » est sur les vidéos. Ceci est la raison que je l’aime. Le site « d’AOL » est bon pour les personnes qui veulent l'information plus générale.
Un site que j'ai découvert pour l'enseignement des langues est http://iteslj.org/th/. Ce site est crée pour les professeurs d’utiliser avec ses étudiants. Il permet des étudiants des langues et des professeurs de langue d’effectuer aux chasses de trésor à l’internet. Les chasses de trésor sont publiées par les professeurs et le site appartient au « Internet TESL Journal. » . Ce site est primairement pour les étudiants de l’Anglais comme une langue seconde, mais il y a un hyperlien d’un site de Web qui décrit comment créer une chasse de trésor à l’Internet personnalisée. Avec ce site on peut créer des chasses de trésor françaises qui ont des hyperliens pour les sites de Web françaises au lieu d’Anglais. Une chasse à trésor d’Internet se compose des plusieurs des questions qui ont des hyperliens aux sites web. On peut trouver les réponses içi. Par exemple, une question peut être « Qu’est-ce que c’est la température au Tours, France aujourd’hui? » Un hyperlien est fournie pour la météo dans Tours. Les hyperliens mènent au sites de Web qui ont les menus de restaurant, l’information sur les routes de transportation, la météo et les revues des films entre autres choses.
Il y a beaucoup de mérites de ce site. En cliquant les
hyperliens les étudiants ont une richesse d’information divers et authentique.
L’authenticité d’information démonte qu’il existe des usages pratique pour les
habilités d’un autre langue. L’authenticité augment aussi la conscience
culturelle des étudiants, donc la motivation d’apprendre la langue est
augmenté. La capacité de la lecture est augmenté parce que les étudiants
doivent activement lire les sites de Web pour trouver l’information qu’ils ont
besoin de. Il existe aussi des chasses à trésor qui n’ont pas les hyperliens
et exigent de participant d’utiliser un moteur de recherche pour trouver la
réponse de question. Ce mène a l’amélioration des connaissances informatiques.
Ces habilités informatiques peuvent être transférées aux situations de la
recherche à l’école entre autres
choses.
Mais il y a aussi des défauts de ce site. Si les hyperliens ne sont pas fournies, la quantité d’information que les étudiants trouvent avec les moteurs de recherche peut être accablant. Si la vitesse de l’Internet est lente, les étudiants vont perdre les temps en attendant pour le site de Web de charger. Il y a beaucoup de cas aussi que les sites de Web, qui sont reliés aux hyperliens, sont désuets. Ils peuvent disparaître sans un avertissement. Les sites peuvent avoir les distractions comme les sons et les images qui empèchent les étudiants de compléter la tâche.
3.4. Résumé donné par la revue
Dans cet article, nous proposons une approche inférentielle de l'interaction humain-ordinateur. C'est par la prise en compte de l'activité cognitive de l'utilisateur pendant son travail avec un système que nous voulons comprendre ce type d'interaction. Ceci mènera à une véritable évaluation des interfaces utilisateurs et pourra servir de guide pour des interfaces en développement. Nos analyses décrivent le processus inférentiel impliqué dans le contexte dynamique d'exécution de tâche, grâce à une catégorisation de l'activité cognitive issue des verbalisations recueillies auprès d'utilisateurs qui "pensent à haute voix" en travaillant. Nous présentons des instruments méthodologiques mis au point dans notre recherche pour l'analyses et la catégorisation des protocoles. Les résultats sont interprétés dans le cadre de la théorie de la pertinence de Sperber et Wilson (1995) en termes d'effort cognitif dans le traitement des objets (linguistique, iconique, graphique...) apparaissant à l'écran et d'effet cognitif de ces derniers. Cette approche est généralisable à tout autre contexte d'interaction humain-ordinateur comme, par exemple, le télé-apprentissage.
3.5. Table des matières donnée au début de l'article
1. Introduction
2. Cadre théorique
3. Objectifs de la recherche
4. Méthodologie
5. Analyse des verbalisations des sujets
6. En guise de conclusion
Références
Annexe
3.6. Mots et expressions clés
U = Utilisateur
C1 – C12 = catégorie d’acte cognitif
L’article de Saint-Pierre propose une évaluation intéressante et pratique de l’interaction entre une personne et un système informatisé. Cette évaluation est fait d’un point de vue psychologique. Les résultats de l’expérience sont utiles pour les programmeurs des logiciels et des psychologues entres autres personnes dans les domaines variés. Les programmeurs peuvent créer des logiciels plus efficaces. Un programme efficace doit avoir des objets d’écran (le texte, les icônes etc.) qui exigent le plus moins d’effort cognitif d’utilisateur d’interpréter. Donc les objets d’écran doivent être facile à utiliser et pertinente. Si les effets cognitifs sont en haut et les efforts cognitifs sont en bas, on a l’information plus pertinente. L’effort cognitif est mesuré par des verbalisations des étudiants pendant qu’ils travaillent sur la tâche. C’est important de savoir quels types des objets écrans et logiciels exigent moins d’effort cognitif dans le domaine d’apprentissage des langues parce que le travail avec une deuxième langue exige plus d’attention au part d’étudiant qu’une langue maternelle. Donc, puisque beaucoup d’attention est déjà exigé d’étudiant il est nécessaire de minimiser le besoin de plus d’attention inutile.
Cet article a démontré une approche de quelle on peut généraliser les hypothèses et les théories de la psychologie de la communication et l’interaction entre les humains et les transmettre au l’interaction d’un humain avec un ordinateur. En principe, ce théorie semble raisonnable, mais un ordinateur n’est pas un humain est le contrôle de l’interaction est d’habitude a la personne au lieu de l’ordinateur. Aussi, puisque les verbalisations des participants sont la composante principale pour la mesure d’effort cognitif on ne connaît pas tous de ce qui passe a l’esprit de participant. Le participant pensent a plus des choses qu’il ou elle dit. Peut-être on peut utiliser les images magnétiques du cerveaux pour déterminer quelles aires du cerveau sont utilisées les plus pour chaque étape de la tache et combien d’effort est employé.