Jaklin Kundakci
Projet individuel en FRE 335
1. Présentation de
l'auteure
Je
m’appelle Jaklin Kundakci. Je suis dans ma quatrième année à
l’Université de Toronto. Je voudrais devenir une professeure de
français.
Je
souhaite enseigner le français parce que je pense que le français
est une partie très importante de notre culture. J’aime la littérature
française, surtout Proust et Stendhal. Mon livre préféré est Le Rouge
et le Noir de Stendhal. De plus, j’aime la natation et le
football. Je
n’aime pas l’hiver, mais j’adore l’été. Mes nourritures préférées sont
les frites, la pizza et le poulet.
Dans
le domaine de l'enseignement/apprentissage de la
langue française avec les nouvelles technologies, je m’intéresse aux
quatre habiletés langagières et leurs rapports avec les nouvelles
technologies, aux contributions de l’approche cybernautique à
l’enseignement/apprentissage des langues secondes, les bases de données
électroniques et l’évaluation des ressources en
ligne.
Stendhal
Proust
2.
Deux de mes sites web préférés
2.1.
Un site dans le domaine de mes intérêts personnels
Je consulte souvent le site
de The
Weather Newtwork pour savoir la température de la
journée. Ce site me permet de savoir la température des dernières
vingt-quatre heures, la prévision horaire, la prévision à court terme et
à long terme, et la prévision de la prochaine quatorze jours. Je trouve
que la température de la journée est pour la majorité du temps précise,
mais que la température de la prochaine deux ou trois jours change
souvent. J’aime savoir la température pour que je puisse m’habiller
convenablement ou apporter un parapluie quand il pleut. Je déteste la
pluie.
The Weather
Network
offre la météo de Toronto et la météo de plusieurs autres villes, autres
pays et autres provinces aussi. Ce site est très utile quand on prépare
un voyage. Mes amis et moi aimons voyager beaucoup. Avant de partir pour
le week-end ou pour la semaine à n’importe où, je consulte The
Weather Network pour savoir quel type de vêtement d’apporter avec
moi.
Le site présente des reportages et autres informations sous des
rubriques comme le voyage, les routes, la maison et le jardin, les
activités, et la santé et l’environnement. Toutes ces rubriques sont
accessibles au moyen d’hyperliens. Chaque rubrique offre plusieurs
information. Je conduis beaucoup donc j’utilise la rubrique les
routes qui me donne la condition de l’autoroute et son écoulement.
2.2. Un
site dans le domaine de l'apprentissage/enseignement du
français
Un site que je consulte souvent est celui
du Grimoire
créé par Pascal Michelucci à l’Université de Toronto à Mississauga. Le
site était crée le 28 juillet 1996, et il est mis à jour le 28
janvier, 2000. Ce site est destiné aux étudiants du cours FRE 180Y,
mais en même temps, le site est ouvert à n’importe qui. Un avantage de
ce site est que même si vous n’êtes pas un étudiant de l’Université de
Toronto, vous pouvez trouver le site dans le World Wide Web.
À mon avis, le site du Grimoire est très utile parce qu’il
enseigne le français aux gens en examinant en détail la grammaire et
la littérature française. Le site nous donne des leçons de grammaire
sur les verbes, les articles, le genre, les adjectifs et les pronoms.
Ensuite, il nous donne des exercices de grammaire pour tester notre
compréhension. De plus, le site nous donne des exemples des tests et
des examens qui sont utilisé dans le passé. Aussi, il y a un
dictionnaire avec un glossaire bilingue de toutes les lettres de
l’alphabet. On peut noter que le site offre treize hyperliens sur la
littérature. Chaque hyperlien offre une leçon d’histoire sur les
différents siècles. De plus, il donne les noms des auteurs et leurs
textes associés avec le siècle en question. On peut même lire quelques
textes écrits par les différents auteurs.
Un désavantage du Grimoire est qu’il semble que plusieurs
gens sont ignorants que ce site existe. Le
site était
crée pour nous aider mais beaucoup de gens
ne tirent pas profit des ressources fournis par notre école. Un autre
désavantage est que le site n’offre pas un hyperlien d’aide ou un
hyperlien de recherche. De plus, le site ne donne pas les réponses des
examens passés.
3.
Fiche signalétique de l’article « Le correcteur grammatical :
un auxiliaire efficace pour l’enseignant ? Quelques éléments de
réflexion »
3.1. Date
de consultation de l’article
J’ai
consulté l’article le 6 février, 2007.
3.2.
Titre de l’article et détails de publication
« Le
correcteur grammatical : un auxiliaire efficace pour
l’enseignant ? Quelques éléments de réflexion » Alsic, Vol. 1.
Numéro 2, décembre 1998.
http://alsic.u-strasbg.fr/Menus/framerec.htm
3.3.
Les auteurs de l’article et leur appartenance institutionnelle
Les auteurs
sont Chantal Charnet et Rachel Panckhurst, des maîtres de conférences à
France à l’Université Paul Valéry, Montpellier III.
3.4.
Résumé donné par la revue
Comment aider l'enseignant à mieux suivre le parcours acquisitionnel de
l'apprenant
en langue étrangère? Que peuvent alors apporter les nouvelles
technologies?
Un
correcteur grammatical pourrait-il servir d'“auxiliaire” pour identifier
les erreurs,
voire
les lieux d'intervention didactique nécessaires ?
Par le biais des Industries de la langue, différents outils
fournissent un cadre de réflexion pour ce type de problématique. Un
logiciel de vérification et de correction grammaticales s'avère utile
dans divers contextes d'utilisation. Nous nous proposons d'apporter une
contribution pluridisciplinaire, à la fois en linguistique -
informatique et en didactique afin de cerner le fonctionnement et
l'utilité d'un tel logiciel en situation d'apprentissage du français
langue étrangère écrit.
3.5.
Table des matières donnée au début de l’article
1.
Introduction
2. L’écrit
en langue étrangère
2.1. Un lieu privilégié d’intervention dans
l’apprentissage ?
2.2. Le correcteur : une pratique pour l’amélioration de
l’écrit ?
3. Du corpus
d’échantillons à la correction automatisée
3.1. Le corpus
3.2. Spécificités du Correcteur 101
3.3. Utilisation du logiciel
3.4. Inventaire et typologie des corrections
3.5. Blocages
4. L’espace
didactique
4.1. Correction automatisée de tests : pour ou
contre ?
4.2. « Lieux de travail »
5.
Conclusion
6.
Références
3.6. Mots et expressions
clés
Le
Correcteur 101, le logiciel, le domaine de la
linguistique-informatique, le balayage, l’analyse
morpho-lexico-syntaxique, l’enseignant/l’apprenant, l’auxiliaire,
l’activité cognitive, l’espace didactique, la langue cible, trois
catégories majeures : orthographe, signes diacritiques et
typographie, détection et correction, les erreurs lexicales et
grammaticales
3.7.
Explicitation des sigles employés dans l'article
I.E.E. =
Institut des Étudiants Étrangers
3.8.
Évaluation de l'article
L’article de Charnet et Panckhurst donne un exposé clair sur le
fonctionnement et l’utilité du logiciel Correcteur 101 en
situation d’apprentissage du français langue étrangère écrit. L’article
discute les avantages et les désavantages du Correcteur 101 en
détail et avec des exemples précis. De plus, l’article relève quelques
éléments de réflexion.
Le corpus utilisé dans cet article est des étudiants du niveau un et des
étudiants du niveau quatre de I.E.E. de l’Université Paul Valéry –
Montpellier III. Les étudiants du niveau un devaient écrire un texte
court à un texte annonçant un mariage, alors que les étudiants du niveau
quatre devaient faire une synthèse en 250 mots de deux articles parus
dans le Figaro et l’Événement du Jeudi à propos du
vieillissement. En examinant les erreurs de ces étudiants, on peut
révéler les avantages du Correcteur 101. Premièrement, on
remarque que le Correcteur 101 repère et classe les erreurs en
trois catégories majeures : orthographe, signes diacritiques et
typographie. On note que l’article nous donne plusieurs exemples de
chaque catégorie. De plus, le Correcteur 101 répare les problèmes
de morphologie, lexique et syntaxe. En effet, les auteurs indiquent que
« plus il y a d’erreurs contenues dans une séquence, plus le
logiciel prendra du temps pour la correction et se trouvera
éventuellement en difficulté » (108). Donc, lorsqu’un mot n’est pas
reconnu dans un dictionnaire, quatre opérations de réparation
interviennent : interversion, substitution, insertion et
suppression. Donc, on peut dire que le Correcteur 101 est un
auxiliaire efficace pour l’enseignant parce qu’il « redonne
confiance en leur écriture à ceux qui craignent de méconnaître les
règles, et d’aider les autres à réparer leurs errements » (106).
Donc le Correcteur 101 est efficace parce qu’il nous aide à
corriger notre différents types d’erreurs.
De plus, l’article révèle les désavantages du Correcteur 101. On
peut noter que le Correcteur 101 pose des problèmes entre le
lexique et la syntaxe. Un exemple est une erreur d’accentuation donné
par un étudiant : « il y en à plusieurs qui se
complètent ». Le logiciel ne peut pas offrir une possibilité ici
parce qu’il faut que le contexte soit élargi. De plus, parfois, le
logiciel bloque à cause des différentes raisons, donc c’est la
responsabilité de l’utilisateur d’être conscient et de corriger ces
erreurs. Quelques types d’erreurs données par l’article sont les noms
communs qui n’existent pas dans le dictionnaire, le genre des noms
communs et le subjonctif qui ne serait pas remplacé par un indicatif. Un
autre désavantage est que le Correcteur 101 ne repère pas les
erreurs sémantiques. Par exemple, le Correcteur 101 est incapable
de remplacer « à l’autre côté » par d’autres possibilités
comme « à l’autre extrémité. »
En conclusion, le Correcteur 101 peut être un fort auxiliaire
« si l’enseignant maîtrise le logiciel afin d’intervenir dans la
détection et la correction » (111). En tout cas, l’utilisateur du
logiciel doit être conscient que le Correcteur 101 ne peut pas
corriger toutes les erreurs, donc c’est à nous de les
vérifier.
Les articles de Cordier-Gauthier et Dion et Berten tirent des
conclusions plus négatives sur les correcteurs que celles de Charnet et
Panckhurst. Les résultats de Cordier-Gauthier et Dion montrent que
« les correcteurs informatiques ne sont pas révélés entièrement
fiables pour corriger des textes écrits… » Le correcteur peut
aider, mais il nécessite une présence active de l’utilisateur pour juger
et vérifier les corrections. Les résultats de Berten montrent que
« l’apport des correcticiels actuels dans la pédagogie de la langue
française est minime, et leur utilisation doit être bien
réfléchie. » Les correcteurs peuvent produire différent types
d’erreurs donc c’est à nous de résoudre ces erreurs. Citant Berten,
« un correcteur n’est pas producteur de savoir, il est productif
quand le savoir existe. »
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