Milica Milissa Pantic, FRE335, #993855967

1. Présentation de l'auteur


Je m'appelle Milica Pantic et présentement je fais mes études en français et en affaires à l'Université de Toronto à Mississauga. J'espère que la combinaison de ces deux domaines me permettrait de trouver un travail qui consisterait des tâches gestionnaires autant que linguistiques. J'ai trois emplois à temps partiel pour le moment et ils sont: l'enseignement du français aux enfants de la maternelle, l'assistance au département des langues sur le campus et le télé-marketing dans un studio de danse. Mes passe-temps favoris sont la lecture des romans romantiques et des livres au sujet de la spiritualité et de la méditation, le cinéma local, la musique de tout types et la danse. Ma famille prend une place dominante dans ma vie et nous passons beaucoup de temps ensemble; soit à la maison ou dans la nature.  Dans le domaine des études françaises, je m'intéresse à la traduction, qui inclut une consultation quotidienne des dictionnaires, autant qu'aux méthodes sur l'enseignement de la langue pour améliorer mes compétences au travail. Même si je fais mes études en affaires et j'ai beaucoup d'expérience dans la vente et l'administration, on me dit souvent que le rôle d'une enseignante correspondrait bien à ma personnalité.  D'après tout, je suis une personne joyeuse, gentille, sympathique, assez patiente et très généreuse. À ce point, je ne suis vraiment pas sûre si je veux m'orienter vers les affaires ou vers l'enseignement, mais ma passion pour les enfants prédomine tous mes autres intérêts. J'essaie de travailler dans des postes variés pour développer des compétences dans tous les domaines. Je m'intéresse aussi beaucoup à l'idée d'enseigner le français ou l'anglais comme langue seconde aux adultes. Souvent ce genre d'emploi se fait dans les soirées, ce qui me permettrait de travailler à un autre poste pendant la journée. D'après les expériences que j'ai eues avec des agences d'emploi jusqu'à maintenant, il me semble que le français sera un bonus lorsqu'il s'agirait de trouver un emploi après avoir terminé mes études. Finalement, j'aimerais vraiment avoir la possibilité de pratiquer mon français en m'insérant dans la culture d'un pays où le français domine comme par exemple; la France ou la Belgique.  J'espère donc que j'aurais le temps et les finances pour voyager un peu avant de débuter ma carrière professionnelle. 

2. Deux de mes sites web préférés

2.1 Un site dans le domaine de mes intérêts personnels

Puisque j'apprécie le cinéma beaucoup comme un passe-temps (théâtre de film), il faut que je m'assure de la qualité du film (basé sur les opinions des autres clients) avant de payer le billet d'admission.  Pour cette raison, je consulte le site de Movie Tribute Canada avant de voir un film.  Les avantages de consulter ce site gratuit sont tellement nombreux que je le recommande à tous mes copains et copines. 

Pour commencer, ce site permet de vérifier le programme (showtime) des films dans tous les cinémas situés dans les grandes villes canadiennes.  La recherche peut se faire soit en donnant le nom de la ville, soit en donnant le titre du film ou bien en donnant le nom du théâtre lui-même.  Par exemple, si je souhaite voir le programme de tous les films qui jouent partout à Mississauga présentement, je cliquerais sur "par ville", et ensuite je donnerais toutes les informations nécessaires, telles que; la ville, la province, la date et si je veux un film spécifique j'entrerais son titre aussi.  Les résultats sont très clairs et nettement organisés. 

Deuxièmement, on peut cliquer sur le titre de chaque film pour arriver à une nouvelle page qui contient tous les détails du film: la date de dégagement, la distribution des acteurs, la synthèse, le genre, la longueur, le directeur, le studio, les producteurs et le scénario.  Ensuite, en haut de la page du côté gauche, on peut accéder aux concours (si un existe pour ce film particulier), aux entrevues, à une avant-première (qui joue dans le Windows Media Player ou Quicktime à votre choix), aux photos, aux biographies des acteurs et du directeur, et au site officiel du film. 

La raison principale pourtant pour ma visite régulière de ce site est l'option d'estimer ou de voter sur la qualité du film (de une à cinq étoiles) pour tous ceux qui l'ont vu, sans joindre ou s'enregistrer sur le site.  Les résultats sont affichés en forme de pourcentages de votes à côté de chaque des cinq étoiles.  De plus, des commentaires positifs et négatifs des visiteurs sont affichés en dessous les résultats numériques.

2.2 Un site dans le domaine de l'apprentissage/enseignement du français

J'ai été introduite au site français Wikipédia (.fr) pour la première fois en recherchant des mots clés d'un de mes cours de français sur le Google Canada. Le site Wikipédia (.fr) reste parmi mes sites favoris de recherche et d'assistance pour mes cours de français depuis. Ce site informatif est rédigé par des utilisateurs d'Internet bénévoles et et il est mis à disposition gratuitement.  On peut même dire que c'est un projet puisqu'un wiki implique que chacun peut modifier les articles et que c'est la meilleure façon de maintenir ces pages à jour, pourtant que les utilisateurs respectent les règles de modification.  

Sur la page d'accueil de ce site, il y a une petite boîte du côté gauche qui indique "rechercher" ou "consulter". Si on entre un mot et ensuite on clique sur "consulter", cela nous amènerait directement sur les pages wiki qui décrivent le terme entré. Pourtant, si on entre un mot et on clique sur "rechercher", le site chercherait le terme sur le Web et non seulement sur le Wikipédia. Il serait très important de noter que les résultats sont disponibles presque tout le temps pour tous les mots clés de mes cours de français. 

Un exemple plutôt récent, de mon cours d'apprentissage et d'enseignement du français à l'aide des technologies (FRE335), est celui du terme "didactique".  Le Wikipédia français définit la "didactique" comme "l'étude des questions posées par l'enseignement et l'acquisition des connaissances dans les différentes disciplines scolaires."  Ce qui est intéressant est le fait que la consultation offre un long article à ce sujet, subdivisé en sections et avec les autres termes clés soulignés pour permettre un lien à leur page de description (comme dans la définition qui figure là-dessus). 

QUI - Comme j'ai déjà mentionné, les articles sur le Wikipédia sont composés strictement par les membres.  On dépend des autres membres comme auteurs pour s'assurer de l'exactitude des informations présentées. 

POUR QUI - Ce site est accessible mondialement, à tous ceux qui ont l'accès à l'Internet.  Pour éditer les informations, il faut être un membre du site, mais pour les accéder il ne faut rien que quelques cliques de souris. Je dirais que ce site est particulièrement utile aux élèves des études collégiales et universitaires, mais n'importe quel groupe à partir de cet âge pourrait l'utiliser sans difficultés de navigation. 

QUOI - Ce site porte le titre "...projet d'encyclopédie librement distribuable que chacun peut améliorer."  Le site général contient 468, 098 articles en français et plus de 6 millions dans 187 langues. Les articles et les domaines principaux figurent parmi les sujets suivants: des Arts, la société, la technologie, les sciences naturelles et humaines et la vie quotidienne et loisirs.  Le site offre aussi une petite section sur les actualités et bien sûr l'option de rechercher ou de consulter les mots clés. Selon moi, la section la plus intéressante est celle de "l'image du jour", dans laquelle figure cette image à moment présent.  Comme on peut le voir à partir de cette image, c'est une façon intéressante et simple de représenter des cultures, des traditions et des originalités mondiales. 

QUAND - Pour chaque article trouvé, une date de modification figure au bout de la page, tandis que pour la page principale du site, le mois duquel il s'agit figure dans la section des actualités aussi.  Par exemple, la page sur la didactique a été modifiée le 23 mars 2007 à 15:59, tandis que la page principale Wikipedia (.fr) a été modifiée le 14 mars 2007 à 22:13. 
La date de consultation ne figure pas sur le site lui-même, mais ce n'est pas difficile de prendre note de la date du jour qu'on consulte ou qu'on imprime les informations.  La date de publication des articles ne figure pas non plus et je suppose que c'est à cause du fait que la date a été dépassée par les dates de modifications. 

COMMENT - Lorsqu'il s'agit de commenter sur la lisibilité de la page d'accueil, on peut mentionner que le contenu est distribué en zones logiques telles que les sujets que j'ai listés dans le paragraphe marqué 'QUOI'.  Les sections séparées des nouvelles, des images et de consultation et de recherche rendent la visite à ce site beaucoup plus efficace. Il y a beaucoup de couleur, des étiquettes qui marquent les catégories variées et des images pour représenter chaque sujet ou les nouvelles. Les possibilités de la navigation ne sont pas limitées non plus. Pour l'instance, chaque article contient des liens ou des wiki qui mènent à une nouvelle page et à un nouveau article.  C'est comme une recherche qui n'a pas de fin, avec des possibilités d'exploration infinies.  Il faudrait notes aussi que le regroupement des articles par sujets ou thèmes aide a raccourcir le temps passé à rechercher ce qu'on désire savoir. 

Le fait que la date de publication ne figure pas est certainement un défaut lorsqu'il s'agit d'inclure l'article dans une bibliographie, mais ce n'est pas un problème sérieux.  On mettrait simplement la date de modification au lieu de celle-là.  Par ailleurs, les articles français sont seulement une petite fraction du nombre total d'articles. 

3. Fiche signalétique de l'article "Le Correcteur Grammatical: Un auxiliaire efficace pour l'enseignant? Quelques éléments de réflexion."

3.1 Date de consultation de l'article

Mars 2007.

3.2 Titre de l'article et détails de publication

"Le Correcteur Grammatical: Un auxiliaire efficace pour l'enseignant? Quelques éléments de réflexion.", ALSIC, Vol. 1, Numéro 2, décembre 1998, pp 103-114 <http://alsic.u-strasbg.fr/Menus/framerec.htm>

3.3 Les auteurs de l'article et leur appartenance institutionnelle

Chantal Charnet et Rachel Panckhurst, Maîtres de conférences (linguistiques et informatiques), Université Paul Valéry, Montpellier III, France

3.4 Résumé donné par la revue

Comment aider l'enseignant à mieux suivre le parcours acquisitionnel de l'apprenant en langue étrangère ? Que peuvent alors apporter les nouvelles technologies ? Un correcteur grammatical pourrait-il servir d'“auxiliaire” pour identifier les erreurs, voire les lieux d'intervention didactique nécessaires ?
Par le biais des Industries de la langue, différents outils fournissent un cadre de réflexion pour ce type de problématique. Un logiciel de vérification et de correction grammaticales s'avère utile dans divers contextes d'utilisation. Nous nous proposons d'apporter une contribution pluridisciplinaire, à la fois en linguistique - informatique et en didactique afin de cerner le fonctionnement et l'utilité d'un tel logiciel en situation d'apprentissage du français langue étrangère écrit.

3.5 Table des matières donnée au début de l'article
 (épandue pour inclure des sous-sections)

1. Introduction
2. L'écrit en langue étrangère
    2.1 Un lieu privilégié d'intervention dans l'apprentissage
    2.2 Le correcteur: une pratique pour l'amélioration de l'écrit?
3. Du corpus d'échantillons à la correction automatisée
    3.1 Le corpus
    3.2 Spécificités du Correcteur 101
    3.3 Utilisation du logiciel
    3.4 Inventaire et typologie des corrections
    3.5 Blocages
4. L'espace didactique
    4.1 Correction automatisée de tests: pour ou contre?
    4.2 "Lieux de travail"
5. Conclusion
Références

3.6 Mots et expressions clés

Le Correcteur Grammatical/bilingue/101, intervention du l'enseignant, le processus d'acquisitions/le parcours acquisitionnel , stimuler, l'agrammaticalité des productions, la vérification orthographique/grammaticale/syntaxique, les Industries de la langue, l'intermédiaire de l'ordinateur, langue étrangère vs. langue maternelle, la langue cible, la conception vygotskyenne du langage écrit, brouillon mental vs. actualisation/mis au net, compétence linguistique, signes diacritiques, typographie, lexique vs. syntaxe et l'espace didactique

3.7 Explication des sigles employés dans l'article

Très peu de sigles figurent dans cet article.  Voici quelques-uns:

ALSIC = Apprentissage des Langues et Systèmes d'information et de Communication
SVM = Science & Vie Micro (magazine français traitant les sujets portant sur la technologie et l'informatique)
I.E.E. = l"Institut des Étudiants Étrangers (l'Université Paul Valéry - Montpellier III)

3.8 Évaluation de l'article

Pour commencer, il serait important de noter que cet article particulier a été rédigé en décembre 1998.  Les deux autres articles que je mentionnerais dans cette analyse; "La correction et la révision de l'écrit en français langue seconde: médiation humaine, médiation informatique" par Corinne Cordier-Gauthier & Chantal Dion et "Les Correcteurs orthographiques et enseignement du français" par Fernand Berten ont été écrits postérieurement  et offrent des résultats plus applicables à notre décennie. Il faut quand même prendre en compte le fait que les deux derniers articles reflètent des résultats qui sont basés sur la performance de plusieurs correcteurs, et non seulement "Correcteur 101". 

L'article en question essaie d'établir une relation entre l'utilisation du logiciel "Correcteur 101" et l'apprentissage des étudiants du français comme langue étrangère.  Principalement, à l'aide d'un corpus d'échantillons des élèves apprenant le français comme langue étrangère, les auteurs concluent que celui-ci peut être un auxiliaire fort utile si l'enseignant s'acquiert bien avec le logiciel avant son utilisation.  De plus, on conclut que l'identification systématique des erreurs peut aider l'enseignant de développer une meilleure compréhension des compétences linguistiques de ses élèves. L'avantage principal est la distinction entre les erreurs commises par un groupe d'élèves issus d'une même communauté, donc des erreurs reliées au système de la langue maternelle, et les erreurs dues à l'acquisition au niveau système linguistique.

Plusieurs défauts et blocages sont identifiés aussi. Premièrement, le logiciel bloque au niveau de l'analyse syntaxique et même lorsqu'il s'agit des erreurs très simples si la phrase contient plus que trois erreurs. La raison est simple; plus il y a d'erreurs contenues dans une séquence, plus le logiciel prendra du temps pour compléter le procès de correction. Deuxièmement, les enseignants ne sont pas toujours bien introduits au logiciel avant de commencer à dépendre d'eux pour faire les corrections.  En plus, le correcteur n'établit pas un portrait des erreurs commises par chaque élève pour qu'on puisse dire que l'apprentissage des élèves est bien analysé et effectivement corrigé.

L'article de Berten qui a été publié peu après arrive à une conclusion assez négative (moins d'emphase sur les aspects positifs que l'article de Charnet on a ).  Premièrement, il conclut qu'il y a beaucoup plus de progrès à faire en matière d'intelligence artificielle, dont font partie les correcteurs, et que les correcteurs auxquels l'accès présentement ont des manques de capacités sémantiques. Ensuite, il conseille de bien réfléchir avant d'utiliser ces logiciels en classe, car l'aggravation des erreurs chez les élèves qui ont déjà des difficultés orthographiques peut empirer.  De plus, puisque le correcteur fait le tout à la place de l'élève, il ne lui apprendra rien.  D'après tout, "un correcteur n'est pas un producteur de savoir... Il est productif quand le savoir existe" (Bernet, 8).  

En 2003, environ cinq ans après l'article de Charnet, l'article de Gauthier & Dion a été publié et a ouvert porte à une vue encore plus foncée. Dans le résumé de l'article, l'auteur déclare que les deux types de médiations; informatique et humaine ne sont pas comparables. Donc, l'auteur est clair sur le fait que les corrections faites à la main par l'enseignant n'ont pas encore été défiées par l'informatique. Qu'est-ce qui rend cette comparaison si difficile? Premièrement, les médiations informatiques, dont font partie les correcteurs, requièrent de la part de l'utilisateur (dans notre cas de l'élève) une présence active, intelligente et instruite. En d'autres mots, les limites sont si nombreuses que la seule façon de bénéficier du procès est d'avertir les utilisateurs en avance. Une question qui reste à rechercher est celle sur la motivation des élèves une fois qu'ils ont des ressources limitées (aspect temporel) pour terminer le travail. Cet auteur mentionne aussi d'autres méthodes de correction, plutôt traditionnelles, qui nous sont disponibles: des dictionnaires, des conjugueurs etc. De plus, il reste à rechercher quand exactement il faut utiliser les correcteurs, puisqu'une utilisation régulière ou quotidienne n'est pas recommandée.

À mon avis, puisque je n'ai jamais eu des difficultés en grammaire française, même si ce n'est pas ma langue maternelle, je n'ai jamais trop réfléchi aux options qui nous sont offertes. En plus, j'ai été introduite au "Correcteur 101" dans ma première année d'université pour la première fois et je ne l'ai pas utilisé depuis. C'était très intéressant de lire ces recherches, de faire des analyses et de les mettre en corrélation par la suite. J'aimerais prendre cette occasion pour donner mon opinion sur les exercices présentés dans l'article de Charnet.  Je suis d'accord que les correcteurs, le "Correcteur 101" en particulier, ne devraient pas remplacer les corrections de l'enseignant, mais je crois quand même que le logiciel a reçu trop de critiques dans les dernières dix années.





Les deux images qui figurent là-dessus nous montrent des exemples de corrections que ce correcteur est capable de faire. J'admets que ce ne sont pas des phrases trop compliquées, mais c'est stupéfiant quand même si on considère que c'est une machine qui le fait. Le correcteur semble adresser les erreurs de correction presque parfaitement (si la phrase contient plus de trois erreurs, les choses se compliquent). 

Si on ignore les blocages causés par une surcharge des informations erronées, des résultats de réussite peuvent aussi être notés au niveau orthographique, comme le démontre le tableau ci-dessous. 

 (1a) Orthographe "pure"
Lettre manquante :
origins, rallongment, shéma, developpemen...
Lettre superflue, doublée ou non :
ammener, millieu, troup...
Lettre erronée :
rube, veudrais, muriage...
(1b) Signes diacritiques
Accent manquant :
reflexion, frequentation...
Accent erroné :
â l'âge, interprèter...
Accent mal placé :
âinés...
(1c) Typographie (manque d'espacement, etc.) : "30%", "l'infini?"...
Tableau 1 : Erreurs d'orthographe, signes diacritiques, typographie.
Selon moi, il n'est pas étonnant non plus que le logiciel "bloque" au niveau syntaxique dans certains cas.  La raison étant que si un mot ne figure pas dans le dictionnaire du logiciel, quatre opérations se font (interversion, substitution, insertion et suppression) ce qui résulte en 208 vérifications.

Je crois que les critiques à ce sujet sont bienvenues, puisque c'est la seule façon de s'assurer que ni les étudiants, ni les professeurs commencent à dépendre des correcteurs électroniques. Les élèves n'apprendront jamais une langue s'ils ne réalisent pas leurs fautes ni si quelqu'un d'autre, particulièrement une machine, fait le travail à leur place. Les enseignants de l'autre côté, n'arriveront pas à identifier les erreurs de leurs élèves si elles sont confondues avec celles causées par le "blocage" du logiciel.

Contrairement, je suggère de se concentrer sur l'amélioration des logiciels au lieu de critiquer les accomplissements qui ont été réalisés à ce point. Il est clair à présent qu'il faut améliorer la vitesse et la capacité des logiciels - pour éviter les blocages - et qu'il faut considérer des innovations au niveau sémantique.