Justyna Rab
Projet individuel en FRE 335
Je m’appelle Justyna Rab. J’ai 21 ans et je suis dans ma troisième année à l’Université de Toronto. J’étudie les relations internationales (c'est-à-dire, la politique, l’économie, et l’histoire) en plus de l’enseignement et l’apprentissage du français. Je m’intéresse aux actualités et je suis toujours curieuse de ce qui se passe dans le monde. Lorsque j’ai du temps libre, j’aime écouter de la musique classique. Je joue de la flûte depuis 12 ans et je donne des leçons privées aux enfants comme emplois. J’aime travailler avec les enfants car ce type d’emplois donne des grandes satisfactions. Je suis étudiante de la langue française, en espérant qu’un jour, je pourrai enseigner les enfants anglophones la deuxième langue officielle du Canada. Le Canada est un pays bilingue, donc l’aptitude de communiquer efficacement en français est très importante.
Dans le domaine de l’enseignement/apprentissage avec des nouvelles technologies, je suis intéressée aux conséquences d’apprendre une langue d’une façon plus authentique. Étant une étudiante du français et vivant dans un milieu anglophone, j’ai toujours été exposée au français dans la salle de classe où on a essayé de reproduire les conversations réelles et on a lu les articles fabriqués pour l’apprentissage du français. Avec le matériel vraiment francophone qui se trouve au Web, les étudiants ont accès au français authentique. Grâce à l’Internet, le monde a rétréci et on se trouve plus proche aux matériaux qui ne sont pas conçus pour l’apprentissage du français mais qui servent ce but très bien. L’enseignement/apprentissage avec des nouvelles technologies permet aux étudiants de voir comment le français est parlé et écrit en dehors de la salle de classe. Je pense que les technologies telles que l’Internet promeuvent l’apprentissage d’un français plus utile et plus authentique.
Partie 2
Un site dans le domaine de mes intérêts personnels
J’aime tellement le site Craig's List. Là, les gens listent les choses qu’ils veulent vendre et les choses qu’ils chercher à acheter. On peut y trouver des accommodations, des emplois, une variété de services, et des forums aux différents sujets. Le site est organisé d’une façon très claire, avec tous les liens catégorisés. Même si on peut trouver plein de liens intéressants sur ce site, je le consulte surtout pour les achètes et ventes. On peut y mettre les publicités gratuitement. Lorsque j’ai acheté une nouvelle télévision, j’ai écrit une annonce pour la vieille télé sur Craig’s List et quelqu’un m’a contacté et l’a achetée. On peut y trouver beaucoup de choses pas chères. On écrit ce qu’on cherche et le page suivant montre tous les items qui correspondent, commençant par les plus récemment affichés. La meilleure chose est que les vendeurs sont situés localement. D’autres site pour les achètes et ventes contiennent les affiches de partout dans le monde. Par exemple, si on feuillette les offerts sur E-Bay, on doit payer pour le transport et les prix sont souvent écrits en dollars américains. Après la conversion et avec le pris de transport, la chose devient très chère. Sur Craig’s List, on est en contact direct avec les vendeurs et les acheteurs et on peut se rencontrer au temps convenable pour les deux partis.
Même que j’aime ce site beaucoup, je me rends compte des dangers qu’il présente. Publier son adresse courriel ou son numéro de téléphone sur l’Internet n’est jamais sans danger. Il existe des gens qui peuvent utiliser ces informations pour atteindre des buts mauvais. A cause que le site est si local, les échanges sont faits surtout face à face donc on doit rencontrer des personnes qu’on ne connaît pas. On doit être très prudent et se rencontrer toujours dans un endroit public. En plus, on ne sait pas la qualité de la chose qu’on achète, mais il n’est jamais trop tard pour changer d’avis et ne pas l’acheter.
Un site dans le domaine de l'apprentissage/enseignement du français
Lorsque je dois écrire quelque chose en français (une composition, un CV, ou un projet), je consulte souvent le site Le Conjuguer. Ce site est très utile lorsque je ne peux pas me souvenir comment conjuguer un verbe. Le site est facile à s’en servir parce qu’il y a un boite où on écrit l’infinitif du verbe inconnu et on clique sur « Conjuguer ». Le page suivant montre toutes les conjugaisons de ce verbe en tous les temps verbaux du français. Au bas du page se trouvent les verbes à conjugaison similaire, donc on est informé de leurs conjugaisons même si on n’en a pas besoin toute de suite. Si on ne sait pas faire les accents sur le clavier, on peut simplement cliquer sur l’accent dont on a besoin sur le page d’accueil. Si on fait une erreur en épelant le verbe, le page suivant montre une liste de verbes avec les orthographes similaires parmi lesquels on peut choisir ce qu’on a voulu écrire.
Le site est organisé bien, ayant les liens différents à la gauche du page. Les liens que je trouve les plus utiles se trouvent au bas du page : « Dictionnaire », « Synonyme », et « Traduction ». En haut, on peut cliquer sur « Règles de grammaire » si on ne sait pas, par exemple, quel temps de verbe utiliser. On peut même télécharger le logiciel pour ne pas devoir avoir une connexion à l’Internet lorsqu’on l’utilise. On n’a plus besoin d’acheter un Bescherelle parce qu’on a accès gratuit à ce site. Je ne peux pas trouver des défauts du site car il est très utile et facile à naviguer.
Fiche signalétique de l'article
Titre de l'article et détails de publication :
Marie-José Barbot, " Médiatisation dans l'enseignement supérieur :
vers un nouveau paradigme éducatif?", ALSIC, vol. 6.1, juin 2003.
<
http://alsic.u-strasbg.fr
>
Date de consultation de l'article :
Mars 2007
Les auteurs de l'article et leur appartenance institutionnelle :
Marie-José Barbot de l’Université Lille 3
Charles-de-Gaulle, France
Résumé donné par la revue :
Le statut de service public de l'enseignement supérieur suffit-il à
garantir que l'innovation en cours se situe dans une rationalité davantage au
service de l'innovation pédagogique qu'à celui d'intérêts économiques ? Aussi
est-il essentiel de poser la question du sens des transformations : s'agit-il
du renforcement d'une pédagogie classique transmissive ou assiste-t-on au
développement d'un autre paradigme de référence constructiviste et
interactionniste ? En ce sens, nous présentons des réflexions qui proviennent
d'une recherche-action en cours portant sur l'Université en ligne (Uel) qui
correspond au DEUG I de sciences. Selon les universités, les changements
s'inscrivent dans des configurations hétérogènes. C'est peut-être de cette
mise en œuvre de dispositifs que dépend la réussite : on ne peut faire
l'économie d'une ingénierie éducative s'inscrivant dans la complexité. Elle
prend en compte des dimensions macro-éducatives (politique, finalités) méso
(dispositif) et micro (ressources et écriture, apprentissages).
Table des matières donnée au début de l'article :
1. Introduction
2. Théorie de l’autonomie en apprentissage et formation ouverte
3. Des choix éducatifs et pédagogiques à l’épreuve des technologies
4. Références
Mots et expressions clés :
autonomie, autoformation, autodirection, apprentissage, technologies,
intégration, université, pédagogie, enseignement, motivation, innovation,
changement, cognitive, médiateur
Explicitation des sigles employés dans l'article :
Uel – Université électronique
DEUG – Diplôme d’études universitaires générales
TIC – Technologies de l’Information et de la Communication
FLE – Français Langue Étrangère
CODIF – Comité pour l’Observation et l’Orientation du Dispositif de Formation
RUCA - Réseau Universitaire des Centres
d’Autoformation
AF – autoformation
CIES – Centre d’Initiation à l’Enseignement Supérieur
Évaluation de l'article:
L’article de Barbot examine le rapport entre les TIC et leur utilisation
dans l’enseignement supérieur. L’article est très informant au sujet des
différents types d’autonomies (cognitive, sociale, et éducative) et illustre
clairement le lien entre l’autonomie de l’étudiant et l’apprentissage avec les
technologies. Barbot explique comment l’apprentissage à l’aide des
technologies aide à développer l’autonomie cognitive, sociale, et éducative de
l’étudiant. Elle croit que les technologies peuvent faire partie d’un
paradigme pédagogique car leur utilisation résulte d’une attitude active de
l’étudiant et donc favorise l’autonomie. Elle est pour l’utilisation des
technologies dans l’enseignement universitaire parce que son recherche preuve
que les technologies développent « l’autonomie par l’acquisition de
savoirs, de savoir-être et de savoir-apprendre. » Les opinions sur
l’utilisation des technologies varient d’un enseignant à l’autre mais
l’auteur de cet article le promeut. ]
Elle porte à l’attention le fait que les technologies coûtent cher, et elle demande qui décide combien et comment les utiliser quand cela a un effet sur l’avenir de l’université. Elle aurait dû suggérer une solution ou au moins mentionner qui fait les décisions si importantes dans les universités qui enseignent avec les technologies, telle que l’Université électronique (Uel). L’article présente beaucoup de faits déjà connus (par exemple, que les technologies sont coûteuses), mais n’offre aucune solution.
En conclusion, Barbot explique qu’avec l’apprentissage aidé par les technologies, l’enseignant constate une fonction différente qu’avant. « L’évolution de l’enseignant vers l’autoformation entraîne un nouveau rôle pour l’enseignant en tant que médiateur. » A mon avis, ce changement dans la fonction de l’enseignant change aussi ce que veut dire « apprendre » car l’apprenant ne doit plus compter seulement pour l’enseignant pour l’enseigner. Les étudiants ont accès aux outils qui permettent de jouer avec les simulations, les représentations, les animations, et beaucoup d’activités didactiques. L’action d’apprendre est plus autonome, et on doit considérer les rôles changés de l’étudiant en plus de l’enseignant quand on demande si la technologie a crée un nouveau paradigme éducatif.