1. Présentation de l'auteur

Je suis Janice Lee Williams, étudiante qui se spécialise en Art et l’Histoire de l’Art, dans un programme collaboratif entre le Collège Sheridan, le Campus Trafalgar, et l'Université de Toronto. Je prends également un mineur en Langue Française pour travailler mes compétences en langues puisque j’étudie le français depuis l’age de 5 ans en immersion et que ce sera utile comme deuxième matière à enseigner lors du Collège Des Enseignants si je décide de poursuivre une éducation post-scolaire. En fait, je vais obtenir mon baccalauréat cet été, après lequel j’ai l’intention de me servir bien et profiter de mes habiletés langagières (je parles aussi un peu d’espagnol et d’italien) pour voyager un peu partout! Etre bilingue, à mon avis, c’est d’être libre! C’est pour ces raisons et plusieurs autres que je m’intéresse à l’acquisition des langues, surtout au domaine de l’enseignement et l’apprentissage de la langue française.

De la même manière que la connaissance d’une langue nous aide à communiquer, les arts nous aident à nous exprimer d’une façon plutôt visuelle. Depuis le mois de Septembre je fais du bénévolat chez Laser Eagles Art Guild – une organisation qui facilite les gens avec la mobilité ou le discours limitée à créer l’art. Parfois un laser est attaché soit à la tête, soit à un bras de l’artiste pour guider leur assistant appliquer la peinture sur la toile; ainsi le nom du group reflète la technologie utilisée. Cette expérience apporte beaucoup de signification à ma vie non seulement grâce a la chance de pouvoir partager ma passion pour l’art, mais littéralement de pouvoir « être les mains » pour quelqu’un d’autre. Ceci exige beaucoup de confiance et de rapport entre l’artiste et son assistant (on dit « Tracker ») pour pouvoir communiquer efficacement, ce qui peut s’avérer un grand défi, mais a la fin, des résultats sont positivement et extrêmement satisfaisants.

En plus, au sujet du travail, j’enseigne les arts visuels, notamment le dessin et la peinture, aux enfants de 8 à 12 ans dans un studio privé deux fois par semaine.

J’attends, après une période académique très longue, un avenir prometteur avec impatience!

2. Deux de mes sites web préférés

2.1. Un site dans le domaine de mes intérêts personnels

Puisque je prends un cours en peinture, j’ai besoin fréquemment des images à me rapporter comme point de départ. Pour m’inspirer, je consulte souvent le site www.gettyimages.com/creative qui offre une base de donnes énorme de photos, de films, et d’illustrations.

Par exemple, je viens de finir une peinture à la toile des personnes qui montent des escaliers dans une station de métro d’une perspective du bas. C’était très utile de faire référence à un photo que j’ai trouvé sur le site, à partir de taper le mot « métro » dans une boite de recherche, pour que j’aie pu avoir un degré de réalisme au lieu de l’inventer.

Le site est mis à jour régulièrement donc il y a toujours des nouvelles images à regarder. Je remarque aussi que je trouve que ce site est le meilleur pour rechercher des images par rapport aux autres sites parce que la qualité est supérieure. En plus, le site offre également l’adhésion libre d’images aux fréquents utilisateurs de sorte que l’utilisation optimale en puisse être réalisée par le déplacement de tous les filigranes.

2.2. Un site dans le domaine de l'apprentissage/enseignement du français

Il y a 2 ans depuis que j’ai travaillé à une école privée j’ai enseigné le français aux petits enfants. Durant ce temps là, parfois j’ai fait des recherches en ligne dans le but de trouver des idées pour des activités à faire avec mes etudiants. Un site portail que je pense est très utile pour rechercher des renseignements à propos de l’enseignement et l’apprentissage du français est www.LangCanada.ca. Il est destiné à n’importe qui, à n’importe quel age, qui s’interesse à la langue francaise. C’est-à-dire que les divers liens offerts permettent d’amener le/la visiteur à approfondir plusieurs domaines de connaissances en français. Par exemple, il y a plusieurs liens disponibles qui donnent accès aux ressources pédagogiques, des paroles de chansons en français, des jeux qui aident avec l’apprentissage du français chez les jeunes, et même des informations à propos des emplois au domaine du français.

Si on a de la difficulté à trouver ce qu’on recherche lors des liens principaux offerts, il existe aussi des opérations de recherche permettant ainsi de savoir s’il existe ou non un nœud qui traite d’un thème ou d’un sujet spécifique. En plus, le site présent l’occasion pour les visiteurs de partager des nouvelles informations pertinents à travers un affichage.

En général, ce site est excellent à cause de sa nature dynamique, tout comme la langue elle-même, il se renouvelle très souvent. J’apprécie aussi le fait qu’il est très facile à naviguer (pour quelqu’une qui a toujours des difficultés techniques!).

3. Fiche signalétique de l'article "L'exploitation du Dictionnaire du français québécois au moyen du logiciel TACT"

3.1. Date de consultation de l'article

Mars 2007.

3.2. Titre de l'article et détails de publication

"Analyse d'applications multimédias pour un usage pédagogique. À la recherche de l'intentionnalité partagée", ALSIC, vol. 5.1, mars 2002.

3.3. Les auteurs de l'article et leur appartenance institutionnelle

Didier Paquelin, Université Michel de Montaigne – Bordeaux 3, France

3.4. Résumé donné par la revue

Cet article vise à identifier les éléments objectifs de compréhension et d’identification de l’intention des concepteurs traduite dans la tache proposée à l’apprenant à partir de quarante applications multimédias.

Par cela, l’auteur tente d’établir une typologie à partir de l’implication de l’utilisateur dans l’action. La notion d’interactivité intentionnelle sert à guider la démarche reprenant l’idée que l’individu apprend lorsqu’il est place dans une situation de relation avec l’environnement sur lequel il peut agir et qui réagit en modifiant certaines de ses composantes.

En conséquent, l’auteur identifie, avec l’aide des schémas, les composantes architecturales, qui permettent ainsi de comprendre la structure de la tache proposée, ainsi que les moyens de codification et de repérage qui agissent comme autant de guides et d’aides à l’apprentissage.

3.5. Table des matières donnée au début de l'article

1. Introduction générale
2. L’interactivité, au-delà du machinique, l’intentionnel
3. L’architecture de l’application: un territoire à découvrir
4. L’axe de la tache
5. Repérages dans et pour l’action

Conclusions
Références

3.6. Mots et expressions clés

Applications multimédias, l’architecture (d’une application multimédia), l’intentionnalité pédagogique, interactivité (fonctionnelle et intentionnelle=> réactive, sélective, active), le potentiel d’action, rétroaction, la composante de vérification, la composante explicative, nœuds (introductive, informative, orientation, décisionnelle, intégrative, capitalisation), ancres, l’analyse des commandes d’une application interactive, liens, hypermédia stable vs. Hypermédia dynamique, l’identification du but, perception de l’état du système (l’extraction, la compréhension, la résolution, l’apprentissage), la charge cognitive, la distance articulatoire, repérages.

3.7. Explicitation des sigles employés dans l'article

AFNOR = Association Française de Normalisation
ITS = Intelligence Tutoring Systems

3.8. Évaluation de l'article

L'article de Paquelin donne un exposé compréhensif et intéressant des processus cognitifs et des utilisations à travers les applications multimédias en prenant compte des compétences différentes chez chaque individu. En conséquent, chaque partie de l’article avait son propre introduction donc le lecteur sait des le début de quoi il s’agit et de quelles idées clés il faut retenir.

Cependant j’avais un problème avec les schémas qui se trouvent dans le corps du texte. D’habitude, les schémas fonctionnent dans le corps d’un article dans le but de clarifier et d’éduquer visuellement le lecteur. Malgré l’intention, dans ce cas certaines figures ont été vaguement utilisées et nuisent à la compréhension des concepts (voir p. 13, Fig. 3). Avec cet exemple, il vaudrait mieux d’inclure une légende pour indiquer la signification des symboles au lieu de forcer le lecteur à deviner. Donc, je crois que l’auteur a trop simplifié les diagrammes.

Toute compte fait, pour un article de cette longueur j’attends beaucoup plus de détails pertinents sur les applications spécifiques qui sont mentionnées. L’auteur parle beaucoup à propos de « l’intentionnalité d’apprentissage des concepteurs » mais sans exemples concrètes avec explication détaillée. Même si c’était assez intéressant (j’aime bien qu’elle fasse des comparaisons par rapport aux composantes d’un livre vs. une application multimédia), je crois donc que Paquelin nous offre une analyse de base plutôt qu’en profondeur ce qui rend le texte très répétitif (elle donne plus que 4 définitions presque pareilles pour le mot « interactivité » entre les pages 3 à 4). Ainsi il me semble qu’elle sous-estime l’intelligence du lecteur.