Remerciements

Je voudrais tout d’abord remercier M. Hervé Le Bras, qui a accepté de diriger ce travail: dans ce cadre comme dans d’autres, relatifs à des passions communes, il m’a encouragé à combiner les instruments de diverses disciplines, et m’a offert de précieux conseils, notamment en matière de mesures des pratiques sociales.

Je voudrais aussi remercier Hervé Théry, à la fois mentor et complice, qui a le grand défaut d’être géographe —défaut si bien partagé par les lecteurs attentifs de cette thèse— et qui, ce jour, est au Brésil. J’évoque très brièvement la géographie dans ce travail, et pourtant mes proches savent à quel point elle m’est essentielle. Représentations (mathématiques, territoriales, collectives), cartes, voyages, boussoles... Je n’en dirai pas plus. D’autres amis comme Henri Desbois, Christian Jacob, Catherine Lefebvre et Jean-Claude Moissinac, qui m’ont tant aidé dans ce domaine, me comprendront.

Je mentionne avec plaisir l’apport intellectuel de Jean Bazin, Rupert Hasterok, Clarisse Herrenschmidt, Jacques Lajoie, Philippe Matherat, Paul Mathias, Luc Tournon et Russon Wooldridge, dont la grande culture et l’originalité intellectuelle m’ont beaucoup aidé.

Je n’oublie pas les amis qui ont relu attentivement ce travail: Vincent George, Michel Nguyen Thé, Philippe Rygiel (et d’autres, déjà cités), ni ceux qui m’ont encouragé à le réaliser: tout d’abord Jean-François Chanet, mais aussi Marie Bauwens et Paul Jouanneaux.

Ni encore les personnes qui, au travers de leurs institutions, m’ont permis de le réaliser dans les meilleurs conditions: Étienne Guyon, ancien directeur de l’ENS, et Brigitte Trousse, de l’INRIA. Ce qui me donne aussi l’occasion de remercier d’autres institutions, en premier lieu le CNRS et le RNRT, qui ont été de réels catalyseurs du type de travail que je présente ici.

Merci encore à Jacques Beigbeder, Roberto Di Cosmo et Catherine Le Bihan pour leurs conseils informatiques et leurs intuitions sociologiques en ce domaine. À Jean-Claude Chamboredon, à Gérard Noiriel et aux amis de Pugwash, dont la probité et l’exigence intellectuelles sont toujours réconfortantes dans l’exercice difficile de la recherche. Enfin, à Gabriel Akol Ayok et Halima Khaldi, qui furent les premiers à me donner concrètement le goût des sciences sociales, et à tous mes amis, même s’ils ne sont pas cités ici.

Et, bien sûr, mille et un mercis à Émilie.

 

Paris, le 26 septembre 2002


PIC