Héritant d'une conception solidement enracinée
dans la tradition, les
grammaires du
XIXe siècle présentent une vision classique de la
configuration des
parties du discours.
10.1. Le cas de l'article
Ainsi la Grammaire nationale de Bescherelle, à
propos de l'article, en
s'essayant à une
sorte de comparatisme typologique naïf et primaire,
note-t-elle : " Cette
partie
du
discours est peut-être la plus importante, eu égard
à son usage
fréquent et continuel, et
sa qualité d'être particulière à
certaines langues. Ces deux raisons
doivent nous faire
considérer l'article comme devant surtout
caractériser le génie
de notre langue, et
comme la source ou de ses plus grands avantages sur les langues qui
sont privées de ce
secours, ou de ses défauts les plus sensibles; aussi est-ce
par là que ses
détracteurs
veulent prouver sa prétendue lenteur, son défaut de
concision et de force, et que
ses
partisans prouvent sa netteté, sa précision, sa vraie
clarté [...].
L'article a de grands
avantages dans les langues où il est en usage. Il leur donne
plus de douceur, de
délicatesse
et de précision dans l'expression, ce qui compense bien ce
qu'il leur ôte en
énergie. La
langue latine a une dureté qu'on ne trouve ni dans la langue
grecque, ni dans la langue
italienne, ni dans la langue française. D'ailleurs ce
qu'elle rend d'une seule manière
peut être rendu de plusieurs façons par le moyen de
l'article. C'est ce que Dumarsais
a
démontré d'une manière victorieuse en faisant
voir que sans l'article il n'est
pas toujours
facile de développer les différentes vues de l'esprit
et que ce n'est que par son
moyen
qu'on peut exprimer bien des nuances d'idées [...].
On doit donc
considérer l'article
comme un caractère propre et distinctif des langues dans
lesquelles il est en usage; il y
forme une classe à part. Il y a ses fonctions et ses
règles "(238). On
saisit nettement là
l'hésitation d'une grammaire normative en cours de
constitution, qui doit s'appuyer sur
une terminologie classique étayée par une conception
traditionnelle des parties du
discours, et qui -- concurremment -- éprouve la
nécessité de recourir
à des arguments
esthétiques pour justifier la validité de la rigueur
des cadres
précédents. Ce qui incline
insensiblement la discussion vers la prise en compte
d'intérêts
stylistiques.
Les fonctions grammaticales telles que la grammaire scolaire entend les fixer étaient pourtant un moyen important de rigidifier le fonctionnement syntaxique de la langue. A l'heure où une émancipation de l'écriture par l'exemple du style des écrivains, que les grammairiens tentent de façon plus ou moins convaincante d'intégrer à leurs corpus d'exemples et à leurs listes d'explications, pourrait être envisagée, la normalisation contraint paradoxalement à repousser les séductions d'une esthétique de l'expressivité et à succomber aux sacro-saints principes de la clarté et de la logique d'ancien régime. Le cas suivant me semble être un bon exemple du phénomène.
Les constructions détachées -- appositions, gérondifs, constructions absolues -- qui ont pour point commun d'établir une relation anaphorique "sous-entendue" avec un constituant de la proposition, comme l'a montré B. Combettes(239), constituent un révélateur capital de la grammaticalisation du français, non seulement au regard de l'histoire de la langue, mais aussi au regard de l'étude de l'évolution des théories grammaticales ; car ces constituants périphériques et leur traitement relèvent de deux disciplines en mouvement au XIXe siècle : grammaire et rhétorique. Grammaire de phrase et linguistique du discours, pour prendre les termes aujourd'hui adéquats, sont les cadres à l'intérieurs desquels on peut analyser ces formes complexes. Comme la majeure partie des grammairiens du XIXe siècle et d'aujourd'hui n'ont pas une vue précise et générale du phénomène, il est difficile de dégager une problématique claire. Mais les divers traités de l'époque font entrevoir certaines constantes notables. Les constructions détachées peuvent être prises en compte dans le traitement de deux questions fondamentales sur lesquelles reviennent constamment les grammairiens du début du XIXe siècle : l'ordre des éléments de l'énoncé, et la hiérarchisation des unités syntaxiques. Quelle que soit d'ailleurs la position des grammairiens sur le problème de "l'ordre naturel", tous reviennent sur ce que Condillac nomme les "transpositions", cas général, qui recouvre les inversions, les détachements, les déplacements de groupes en début de proposition, dont les constructions détachées sont un aspect particulier. La justification de la transposition se trouve ainsi double : à l'intérieur de la phrase, elle correspond à une certaine logique dans la liaison des idées, la construction détachée renvoyant à une sorte d'idée "surajoutée" ; par rapport au contexte, elle assure la bonne liaison syntagmatique des enchainements ; la Grammaire de Condillac(240) était on ne peut plus claire sur ce point : "Il y a dans le discours deux choses : la liaison des idées et l'ensemble" [p. 504]. Dans cette perspective, la "liaison des idées" concerne la structure interne de la phrase : "Quand nous commençons la première construction, l'idée sur-ajoutée [...] attire notre attention, et nous fait attendre le verbe auquel elle est subordonnée" [p. 523]; mais, simultanément, c'est l'insertion dans un enchaînement discursif qui autorise l'utilisation de telle ou telle structure syntaxique : "Quand je donne deux constructions pour bonnes, c'est que je considère une phrase comme isolée. Vous verrez que dans la suite d'un discours, le choix n'est jamais indifférent" [p. 524]. L'importance accordée au niveau thématique d'organisation des énoncés apparaît d'ailleurs nettement dans l'exemple choisi par Condillac pour illustrer cette contextualisation : une phrase comme "Le roi reçut fièrement les députés de Tournay pour avoir osé tenir en sa présence" peut supporter diverses transpositions, en fonction du contexte antérieur : "S'il avait été d'abord question du roi et de ces députés, on aurait pu dire également: le roi les reçut fièrement, pour avoir osé tenir en sa présence, ou : Pour avoir osé tenir en sa présence, le roi les reçut fièrement" [p. 523].
Mais la question des constructions détachées se pose aussi lorsqu'il s'agit de délimiter et de définir des unités telles que la proposition, la période, la phrase ; les groupes apposés, les participiales, les gérondifs. Certains auteurs reconnaissent ces objets comme des propositions réduites, relevant de la catégorie des subordonnées. La construction détachée, en l'absence de définition précise de la phrase(241), relève alors de la phrase complexe, de l'élaboration de la période, puisqu'elle correspond à une proposition circonstancielle, ce qui renforce la liaison avec le contexte. Mais ces remarques s'appliquent d'ordinaire à l'ensemble des transpositions, à l'ensemble des périodes ou des phrases complexes : les constructions détachées n'y sont citées qu'à titre d'exemples, et ne sont pas traitées en tant que telles. En revanche, l'impératif logique et esthétique de clarté est constamment rappelé, soit sous la forme de conseils plus ou moins vagues : "Il faut seulement prendre garde qu'il n'en naisse [de la transposition] quelque équivoque avec ce qui précède ou avec ce qui suit" [p. 501], soit sous la forme de règles qui se feront de plus en plus précises, la construction détachée ne pouvant plus désormais se rapporter qu'au sujet, ou au pronom régime, du verbe principal : "Le participe passé, mis au commencement de la phrase, doit toujours se rapporter d'une manière précise et sans équivoque à un nom ou à un pronom placé après, soit en sujet, soit en régime", comme l'affirme la Grammaire des Grammaires de Girault-Duvivier [1812 : p. 810]. Cette exigence de clarté s'ajoute ainsi aux deux caractéristiques précédentes : cohérence interne de la phrase car l'antéposition d'un constituant doit correspondre à une liaison logique des idées dans la proposition, cohérence externe, car la construction détachée assure l'enchaînement avec le contexte, et grammaticalité, car la non-ambiguïté privilégie, dans la norme, certaines structures. C'est pourquoi les grammairiens du XIXe siècle traitent différemment ces trois aspects, essayant de rendre compte de la dimension grammaticale, mais aussi de la dimension rhétorique du phénomène. La constitution progressive de la grammaire en discipline autonome, comme on l'a vu précédemment fera peu à peu oublier les deux premiers points, en réduisant la question des constructions détachées à un problème de syntaxe de la phrase.
A observer les documents conservés du XIXe siècle , qui marquent un usage littéraire, il apparaît vite que les limitations des grammairiens sont loin d'être respectée ; la réalité des textes offre une grande variété dans les relations anaphoriques : de la coréférence avec le syntagme sujet jusqu'à la rupture de construction, la gamme des tours possibles est vaste et les étapes intermédiaires sont bien représentées. Là encore, plutôt que des cas arbitrairement tranchés par l'analyse, s'affiche un continuum. Les exemples de renvois à un pronom sont nombreux, ce qui est attendu, étant donné l'importance des enchaînements avec le contexte, mais la fonction de ces pronoms n'est pas limitée à celle de sujet ou de clitique complément ; les pronoms placés en position post-verbale, introduits par une préposition, jouent aussi ce rôle de coréférent : " Remplie d'une frayeur religieuse, chaque mouvement, chaque bruit devenait pour elle un prodige " [Chateaubriand]. La fréquence des coréférences avec des déterminants "possessifs", relations qui correspondent à celles qu'établissent les pronoms, est également notable : " Mais en lisant le consentement qu'il m'accordait, tous les inconvénients [...] se présentèrent tout à coup à mon esprit " [B. Constant]. Mais on remarquera surtout la présence de constructions détachées renvoyant à des syntagmes nominaux compléments; au fur et à mesure des années, il semble que cette possibilité disparaît peu à peu, notamment après 1840, la coréférence se limitant alors aux groupes sujets : " Bientôt on les déporta aux Bouches de Cattara, et jetés dans les grottes souterraines, l'humidité et surtout le manque de pain firent bonne et prompte justice de tous les coquins. [Stendhal].
Les cas de "rupture" syntaxique ne sont pas moins fréquents ; ils s'inscrivent le plus souvent avec des gérondifs ou avec des participes à valeur temporelle, du type : une fois arrivés..., équivalent à : lorsqu'ils furent arrivés... ; la construction détachée est mise en situation de correspondre à une subordonnée affranchie de toute "reprise" par un autre constituant de la proposition : " En sortant du milieu de l'Athènes moderne et marchant droit au couchant, les maisons commencent à s'écarter [Chateaubriand]. Ce type de rupture se poursuit à la vérité jusqu'au français moderne et n'appelle pas de commentaire particulier. Un cas plus rare, toutefois, est sur le déclin et va peu à peu disparaître, celui de la construction détachée faisant partie d'une période, se trouvant étroitement liée au contexte antérieur; et introduisant un élément repris dans la proposition principale. Sade pouvait bien écrire : " [Rien ne va vite en besogne comme les cours inférieures] ; presque toujours composées d'idiots, de rigoristes imbéciles ou de brutaux fanatiques, à peu près sûrs que de meilleurs yeux corrigeront leurs stupidités, rien ne les arrête aussitôt qu'il s'agit d'en faire ". Le groupe presque toujours composées... se rattache certes à les cours inférieures, mais, d'un point de vue syntaxique, il fait partie intégrante de la deuxième proposition de cette période ; et c'est le syntagme rigoristes imbéciles, contenu dans la construction détachée, qui se trouve en coréférence avec le clitique les dans la dernière proposition. Ce type d'exemple montre la position "intermédiaire" des appositions : liens entre les parties constitutives de la période, elles ne fonctionnent pas dans les limites étroites de la proposition, et rappellent incessamment la difficulté de définir une notion claire de la phrase avant 1850, et la seconde grammaire scolaire.
Les enchaînements sur lesquels repose alors la légitimité des constructions détachées s'accompagnent d'une valeur sémantique qui justifie le déplacement du constituant à l'intérieur de la proposition. L'idée "surajoutée" n'est pas déplacée parce qu'elle est secondaire, mais parce qu'elle entretient un certain rapport avec l'idée principale. Cette prédication seconde apportée par la construction détachée relève principalement de deux catégories sémantiques : une valeur chronologique et une valeur logique. Le détachement se trouve donc ainsi doublement justifié : par rapport au contexte, l'antéposition permet d'établir une période; par rapport à la proposition, enfin, le déplacement autorise un déroulement logique ou chronologique des idées. De très nombreux exemples montrent que la construction détachée équivaut à une subordonnée temporelle réduite, avec valeur d'antériorité : "Arrivé à la porte des appartements du pape, un abbé me conduit... " [Chateaubriand]. Ces rapports chronologiques s'accompagnent souvent d'ailleurs d'une liaison causale avec le reste de la proposition : "Trop faible pour remuer ma couche, elle restait comme Dieu me l'avait retournée [Chateaubriand]. L'effet produit tend à exacerber l'attente créée par l'occurrence de la construction détachée, car le lecteur doit, d'une part, rattacher au contexte antérieur le constituant antéposé et, d'autre part, l'interpréter, en attendant l'idée principale, comme une circonstancielle ; le contenu de la construction détachée [faible, honoré, privé] laisse d'ailleurs prévoir, ou fait anticiper la valeur sémantique, temporelle ou causale. Ce sont essentiellement ces deux facteurs -- liaison avec le contexte, et rapport avec la principale -- qui permettent de justifier le lien grammatical relativement lâche que constitue une construction périphérique non strictement intégrée à la structure syntaxique de la proposition. Au demeurant, il n'apparaît au XIXe siècle , plus particulièrement jusqu'aux alentours de 1880, ni cas de ruptures discursives, dans lesquels la construction détachée renverrait à un élément nouveau, non évoquée dans le contexte, ni cas de valeur descriptive, dans lesquels l'apposition aurait un simple effet d'épithète rhétorique.
L'évolution qui se dessine, dans la première moitié du XIXe siècle , peut alors se résumer ainsi : la grammaticalisation du passage de la période à l'unité phrase entraîne une intégration progressive de la construction périphérique, qui trouvera ses règles de fonctionnement à l'intérieur de la proposition. Cette structuration syntaxique a des répercussions au plan textuel proprement dit, car la valeur de liaison avec le contexte se perd et la construction détachée peut renvoyer à un sujet nouveau. Parallèlement, à partir du moment où il n'y a plus lien obligatoire avec le contexte, la distinction des deux schémas X + Sujet + Verbe / Sujet + X + Verbe ne se justifie plus et les valeurs sémantiques de la construction détachée peuvent se modifier. Des groupes simplement descriptifs, qui, jusque là, se voyaient réserver la position intermédiaire entre le sujet et le verbe, se trouvent ainsi antéposés, en début de phrase. La liaison logique entre les idées n'est plus un facteur indispensable de cohésion, car la clarté se trouve assurée par la coréférence quasi obligatoire avec le sujet. Ce n'est que dans la seconde moitié du XIXe siècle que sera rendue possible par l'usage la combinaison de ces deux caractéristiques -- rupture avec le contexte, et valeur "descriptive" de la construction détachée : "Il reçut un soufflet mouillé dès qu'il mit les pieds dehors ; inondés par la pluie et par les rafales, les réverbères agitaient leurs éventails de flamme. [Huysmans]. Par rapport aux exemples précédents, les valeurs, textuelles et sémantiques, de la construction détachée sont alors entièrement modifiées : le resserrement du lien grammatical, et l'incorporation du constituant périphérique dans la structure phrastique, s'accompagnent d'une perte de la fonction d'enchaînement discursif et des effets de sens chronologiques et logiques qui s'établissaient lorsqu'il y avait transposition d'un syntagme en début de phrase. Ces quelques remarques, qu'il serait utile d'étendre à d'autre faits de nature morpho-syntaxique, montrent de nouveau -- me semble-t-il -- l'impossibilité de dissocier au XIXe siècle l'évolution même de la langue et celle des théories grammaticales ou linguistiques qui en assurent la cohorte.
Or, chasser le diable, comme on dit, revient souvent à le faire revenir au galop. L'éviction progressive des modèles de la logique métaphysique s'accompagne donc au XIXe siècle d'un retour inattendu à la logicisation des arguments de l'énoncé. Et un auteur tel que De Wailly, qu'il est pourtant impossible de classer parmi les grammairiens métaphysiciens du XVIIIe siècle , à propos de l'usage des adjectifs pronominaux, comme nombre d'autres de ses contemporains, n'hésite pas à consigner une remarque attestant ce retour : " Dans les premiers âges du monde, chaque père de famille gouvernait ses enfants avec un pouvoir absolu. Faire rapporter ces pronoms à des mots pris dans une signification indéfinie, c'est passer du général au particulier, ce qui est contre la bonne logique "(242). Un peu plus loin, De Wailly note explicitement la corrélation de la bonne grammaire et de la bonne logique(243). Le même grammairien justifie de même la place du pronom personnel en fonction d'impératifs de politesse sociale : " La politesse française [...] veut que celui qui parle se nomme le dernier. Le pronom de la seconde personne se place toujours avant le nom ou le pronom de la troisième. C'est vous et mon père qui m'avez sauvé la vie; et non pas : C'est mon père et vous qui m'avez sauvé la vie "(244). Dans tous les cas, c'est la congruence de tous les termes de la phrase qui paraît être alors le facteur déterminant de l'évaluation positive et de l'acceptation de l'énoncé : " Pour bien parler, il ne suffit pas d'employer des termes français; il faut que l'union de ces termes forme un sens raisonnable, et qu'elle soit autorisée par l'usage. Des mots très français, harmonieux, élégans, etc. ne feront qu'une mauvaise phrase, s'ils sont mal assortis ou mis en oeuvre "(245). S'ajoutent à ces critères, les contraintes de netteté, de clarté, d'élégance et d'harmonie que l'on a vu s'imposer à l'époque classique et néo-classique du langage et de l'esthétique de la langue.
[Suite] [Table]Notes
238. Bescherelle frères, et Litais de Gaux, Grammaire Nationale ou Grammaire de Voltaire, de Racine, de Bossuet, de Fénelon, de J.-J. Rousseau, de Buffon, de Bernardin de Saint-Pierre, de Chateaubriand, de Casimir Delavigne, Paris, Bourgeois-Maze, 1836, p. 157-158.
239. B. Combettes a très précisément analysé ce phénomène dans plusieurs articles, notamment : "La construction détachée portant sur l'objet du verbe ; évolution syntaxique et textuelle", Champs du Signe, Sémantique, Rhétorique, Poétique, n° 5, 185-198.
240. Etienne Bonnot de Condillac, Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme, 16 volumes, tome 1 [1775]; réédition dans la série " Grammatica universalis ", publiée par H. E. Brekle, Frommann-Holzboog, Stutgart-Bad-Cannstatt.
241. Voir plus particulièrement sur ce point, ici, le chapitre consacré à la langue du XVIIIe siècle , et plus largement : Seguin, J.-P. , 1993 : L'invention de la phrase au XVIIIe siècle, Bibliothèque de l'Information grammaticale, Louvain, Paris : Editions Peeters, 1993, vol. 26, 480 p.
242. De Wailly, Principes généraux et particuliers de la langue française, Paris, Barbou, 11e éd., 1807, p. 226.
243. De Wailly, Principes généraux et particuliers de la langue française, Paris, Barbou, 11e éd., 1807, p. 156. " [...] en bonne grammaire, comme en bonne logique, les relatifs qui se rapportent à un antécédent pluriel, qui en déterminent la signification, et sans lesquels ces mots ne formeraient pas de sens, doivent être au pluriel ".
244. De Wailly, Principes généraux et particuliers de la langue française, Paris, Barbou, 11e éd., 1807, p. 281.
245. De Wailly, Principes généraux et particuliers de la langue française, Paris, Barbou, 11e éd., 1807, p. 355.