The results of my research were more or less conform with my initial expectations. With such a broad subject a lot of the time was spent narrowing down my search and then sifting through sites to find information that I could use. For the common cook it is necessary to know at the outset the difference between entrée in French and English as entering the word into a search engine will provide quite different results based on the language used..As with other times it is difficult to create a truly accurate and objective evaluation of the web pages as often personal preferences set in. It is perhaps this lack of standardization that keeps more academics away from the Internet as a tool of research, furthermore I suspect that they lack the skills necessary to access the desired information.
Whereas other subjects seemed to have dedicated amateurs creating websites cooking seemed to come up short and the personal sites that did exist were of lower quality. Although the commercial sites were frustrating at times with the pop-up windows and advertisements their design was far superior (paid for with advertising money most likely) and allowed for a large amount of interaction. It is this aspect that the Internet excels in, for while there may be thousands upon thousands of great cookbooks in the world, the recipes written in them are unchangeable. On the web, it is possible to change serving sizes, find out nutritional information and share ideas and tips in a much more efficient and wide reaching manner.
The subject of cooking also raises several challenges for the translator that are aided by the Net. For while there may be a stereotype of what French cooking is the many regional diversities make it difficult to sum up the true essence. The web is quite limitless in space (thus far) and therefore every single community in France can publish recipes - it is up to the gifted translator to then find out about these specific terms through Q&A sites or local tourism sites.
What cannot be addressed are the cultural connotations attached to cooking and eating - for while a Torontonian may be able to pull off a terrific crème brulée (just imagine if we translated that name) his or her experience of the food is different than that of a Parisian due to many factors outside of the realm of the Internet or language. Indeed, perhaps the only way to fully appreciate such a subject is not through research but by gathering a group of friends together and enjoying a fine French meal.
Les résultats de mes recherches étaient plus ou moins conformes à mes attentes. Avec un sujet si vaste j'ai passé beaucoup de temps à limiter mes requêtes et à regarder énormmement de sites pour trouvers des informations pertinantes. Pour un amateur de la cuisine il faut savoir avant de commencer une étude la différence entre une entrée en français et en anglais car si on se sert de ce mot comme mot clé dans une moteur de recherche on a deux choses différentes selon la langue de recherche. Comme c'ést souvent le cas, il est difficile de vraiment juger la qualité des sites de façon purement objective. D'ailleurs cette manque de standardisation est peut-être la raison pour laquelle autant de gens académiques évitent l'Internet comme outil de recherche , ainsi que par manque de compétences nécessaires pour trouver les informations qu'on désire.
Alors que d'autres sujets ont des amateurs qui créent beaucoup de sites, il n'y avait pas autant de pages personelles sur la cuisine et celles qu'il y avait n'étaient pas toujours d'une haute qualité. Bien que les sites commérciaux sont des fois pénibles à naviguer à causes des pop-ups et des avertissements la mise en page était beaucoup mieux (l'argent facilite ces choses) et il y avait beaucoup plus d'interaction possible. C'est là où réside la force de l'Internet car bien qu'il existe des milliers et des milliers de livres de recettes, elles sont plus ou moins fixes lorsque l'encre est sèche. Dans le web on peut changer le nombre de portions, acceder aux informations nutritionnelles et plannifier en fonction de ce-ci et partager des astuces et des idée de façon rapide à travers le monde. Le sujet de la cuisine pose des problèmes pour des traducteurs qui sont resolus (en partie) par le Net. Même s'il existe des stéréotypes de ce que c'est la cuisine française les diversités régionales le rend difficile de donner une définition simple. Le web ne connaît pas de bornes d'éspace (pour l'internet) et chaque ville et village de la France peut y publier des recetters - aux traducteurs doués de trouver les termes sur les sites Quéstion/Réponse ou des sites de tourisme.
Ce qui reste un problème c'est l'importance culturelle de la cuisine et même le geste de manger- même si un Torontois arrive à faire une crème brulée superbe (et si on traduisait se nom en anglais?) son experience gastronomique est bien différente de celle d'un(e) Parisien(ne) à cause des facteurs para-linguistiques et endehors de l'Internet. Et bien, peut-être que la meilleure façon de comprendre ce sujet n'est pas de faire une étude par Internet mais de prendre un avion en diréction d'un bistro dans un village français.