Notes (2.2.7-2.2.7.2.2)

299. Cf. 2.1.2.4.2.

300. Huguet trouve le premier dans Les Anciennes poésies françaises et le dernier chez J. Bouchet.

301. FEW (II-2 (1946): 967): compagnier XIIIe s.-1573.

302. FEW, XIII-1 (1966): 42.

303. FEW, II-1 (1949): 626.

304. Thurot 1881: xxix.

305. FEW, XIV (1961): 270.

306. FEW, VIII (1958): 359.

307. FEW, XIII-2 (1967): 437. En citant les dictionnaires historiques, nous ne faisons évidemment pas mention de leur signalement des mots chez Estienne et Nicot. Seule la forme tragee, de la liste dressée par Thurot, n'est pas attestée hors des dictionnaires; son enregistrement chez Cotgrave, inspiré par Nicot, lui vaut pourtant une entrée dans le FEW (XIII-2 (1967): 158). Brandon (1904: 74) aussi a prétendu que, dans sa deuxième édition, Estienne avait inventé des mots -- moyenneté, muableté, nettelet; Smalley (1948: 59, note) le corrige en faisant remarquer qu'ils se trouvent tous dans Godefroy.

308. Dans une édition de La Maniere de tourner en langue francoise les verbes (cf. Armstrong 1954: 49).

309. Les langues qui n'utilisent pas l'alphabet latin n'entrent pas en ligne de compte en principe. Cependant, les irregularités ne se font jamais rares: "ce mot Hebraique Beriah" (E 1549 s.v. Barre).

310. Le deuxieme Landsknecht est en usage français.

311. Cf. 2.1.2.4.2.

312. Le lecteur doit également corriger l'orthographe, puisque le deuxième mot est évidemment brusler.

313. La forme latine "actiu." se trouve seulement 15 lignes plus haut s.v. Accourcir.

314. Cf. aussi s.v. Aousteron, Applanieur, Bauds, Braye, Brayel, Brayer, Hardes.

315. FEW, XII (1966): 485.

316. FEW, VII (1955): 512. Junius 1606 donne: "RICINVS ... offic. ... palma Christi ... G. Palme de Crist, palme Dieu" (p. 45).

317. Junius 1606: "CYANVS, offic. baptisocula ... G. Bluet, blaueole" (p. 41).

318. Junius 1606: "LAPATHVM ... offic. lapathium ... G. Patience" (p. 42).

319. Scolopendria est la seule des formes du latin populaire données dans ce paragraphe à figurer dans le FEW. Dans une note, il la mentionne comme étant une formation du latin medieval (XI (1964): 317).

320. Junius 1606: "HELENIVM ... Inula ... offic. enula campana ... G. Enule, campane, aulnée" (p. 42).