185. Baldinger 1951: 352-3.
186. Cf. le deuxième paragraphe de 2.2.2.2.1.
187. Cf. d'autres exemples s.v. Herbe.
188. Les paraphrases d'encodage monolingue continuent à prosperer
longtemps après Estienne. Le Robert s.v.
Amas, par exemple, donne amas de vapeur d'eau et amas de paille
pour introduire en les définissant brouillard et nuage,
d'une part, et, d'autre part, meule (cf. Rey
1965: 91). Pour une plus ample discussion des paraphrases d'encodage chez
Estienne, le lecteur peut se reporter à Wooldridge 1975.
189. C'est-à-dire, la définition considérée comme
une expansion et s'opposant à la denomination (cf. Greimas 1966: 72-).
190. Dans ce cas, comme dans bien d'autres, le contexte dérivationnel
et les exemples d'emploi concourent à éclairer le sens (cf.
2.2.2.2.5).
191. Jusqu'en 1606, l'article ARBRE admettait ce sens,
puisque, dans le Dictionaire françois-latin, le premier item
était simplement "ARBRE, Arbor"; le dictionnaire
latin-français rendait l'acception explicite, DLG 1538, par
exemple,
donnant s.v. Arbor: "Arbor, Malus est nauis, L'arbre d'une nauire".
193. Cf. Cohen 1958
("Compléments").
194. T 1564 en fournit un nombre important de ce type; cf. s.v. Baillie,
Balance, Balancer, Bastiller, Batable, Bernage, etc. Cf. 2.2.3.1, note
223 sur le rôle des 'actualisateurs'.
195. Cf. Rey-Debove
1971: 202-7.