Notes (1.2-1.2.2)

38. Cf. 1.1.1, note 13 et 1.1.2.2, note 24.

39. D'après Maittaire, t. III, 1726: 703.

40. Cf. Brandon 1904: 84, note.

41. Brandon 1904: 81, note.

42. Le Dictionarium latinogallicum, iam indè post multas editiones plurimum adauctum de 1561, imprimé par Charles Estienne et paru chez ce dernier et chez Dupuys, n'est en réalité qu'une réimpression du Dictionarium latinogallicum, postrema hac aeditione valde locupletatum de 1552, troisième édition du DLG, impr. et publ. par Ch. Estienne. Une quatrième édition, comme la troisième peu importante, est imprimée par François Estienne et paraît en 1570 chez différents libraires dont Dupuys.

43. Exemplaire laissé "auant que partir de France" (DFL 1564: épître dédicatoire -- cf. 1.6).

44. DFL 1564, chez Dupuys: Advertissement (cf. 1.6)

45. DFL 1564: épître dédicatoire.

46. Cf. Thesaurus 1543: préface (cité par Brandon 1904: 60, note).

47. Cf. supra 1.1.2.2 et infra 2.1.1.

48. DFL 1564, chez Macé: privilège, *ii r.

49. Année en laquelle Estienne alla s'installer à Genève (cf. Brandon 1904: 20).

50. DFL 1564: épître dédicatoire.

51. Cf. supra 1.1.2.2.

52. Voir 1.6.

53. Cf. 1.7.

54. Brandon (1904: 84) pense le contraire. Pourtant, sur les 133 articles que renferment les deux premières pages du recueil de Le Frere, seulement un (AGDE) a pu lui être emprunté par ND 1573. Tous les autres mots géographiques communs à LF 1572 et à ND 1573 étaient déjà dans T 1564. À son tour, Nicot, en 1606, néglige Le Frere. Selon Riemens (1921: 36-7), Le Frere aurait été un plagiaire notoire.

55. Cf. ND 1573: préface.

56. Il y a une augmentation estimée dans le nombre de mots de texte français de 30,6% (cf. 3.5.1).

57. ND 1573: préface.

58. ND 1573: préface.

59. Le Thesaurus linguae graecae d'Henri Estienne avait paru l'année précédente.

60. ND 1573: fin de la préface.

61. Notons la présence 'trompeuse' dans ND 1573 et le nouveau tirage de 1584-5 de l'épître dédicatoire de 1564 (cf. 1.2.1). Elle continuera à reparaître dans certaines éditions du Grand dictionaire françois-latin (cf. Wooldridge 1992 (Le Grand dictionaire)).

62. Cf. Renouard 1965: 135.

63. Baudrier (Bibliographie lyonnaise, t. I, 1895: 122) mentionne un Gaspard Dehus exerçant en 1580 à Lyon le métier de fondeur de lettres d'imprimerie.